Thursday, October 18, 2012

Show time!

Attention, post qui ne parle pas de bébés, ça fait un bail! Il faut dire qu'ils nous prennent de plus en plus de temps et d'énergie, surtout Luke aka la pile électrique. Le soir, une fois les loulous couchés, biberons lavés, repassage/lessive/vaisselle faits, on se fait un truc rapidos à manger suivant l'inspiration (et/ou le degré de flemmingite aussi) et on se cale devant la téloche histoire de souffler/reposer notre cerveau. Vu qu'on a pas forcément le temps mais surtout l'énergie de mater un film de plus de 1h30, on se rabat sur les séries. A commencer par Dexter.
Septième saison et déjà trois épisodes d'écoulés. Franchement, le cliffhanger (pas le film avec Stallone hein) de la saison dernière est plutôt bien exploité. Elle le sait, enfin! Ça démarre plutôt doucement mais ça va pas tarder à s'emballer. Mon sixième sens me dit que ça va être la dernière saison de LaGuerta. Ça tombe bien, je l'aime pas. A moins que ce soit Angel, mais là ça me ferait chier. Autre chose qui m'emmerde, c'est l'impression que le Dexter il passe plus de temps avec son "dark passenger" qu'avec son fils. Depuis la saison dernière, on les voit quasiment plus ensemble. Oui, bon je sais c'est l'avis de nouveau papa mais ce genre de détails, ben j'y porte plus attention dorénavant.
Puis vient Fringe. Maintenant que Peter a réussi à revenir (ou plutôt qu'"ils" n'ont pas réussi à totalement l'effacer) et qu'il peut couler des jours heureux avec Olivia, les "observateurs (aka "ils" dans la première parenthèse) décident de faire un retour vers le futur et foutre le bordel sur la planète Terre. 21 ans plus tard, on se retrouve avec ces mêmes observateurs et leur armée de loyalistes/collabos d'un côté, et la résistance de l'autre. La Fringe team est dé-ambrée (je la fais court) grâce à la belle Etta pour que l'humanité ait une chance de vaincre. Au-delà du toujours excellent John Nobla (aka Walter Bishop), cette saison finale s'annonce épique!
Et enfin, Homeland. Après avoir raflé quelques Emmys pour leur première saison, ils remettent le couvert. On retrouve donc Carrie qui, après son traitement de choc, a eu à peine le temps de dire merde qu'elle se retrouve parachutée à Beyrouth pour une mission anodine. A priori. Mais on retrouve surtout Brody, dorénavant congressman (membre du Congrès) et en lice pour devenir vice-président des States, rien que ça. Ze plot thickens comme on dit et une fois l'heure passée, il nous tarde quand même dimanche prochain! Ce que je ne savais pas, c'est que la série s'est inspirée d'une série israélienne "Prisoners of War". Pour ceux qui sont aux US, la première saison est dispo sur Hulu gratos. Du coup, on a maté le premier épisode et ma foi, c'est bien foutu. En plus, ils gardent le truc en VO, ce qui rend la série d'autant plus authentique. Je pense qu'on suivra ça en parallèle, enfin quand on peut!

No comments:

Post a Comment

LinkWithin

Related Posts with Thumbnails